Le MSM et le Parti travailliste en mode mobilisation
05 août 2019 12:30
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Les principaux partis politiques ont repris le chemin des conférences de presse et autres rassemblements qu’ils appellent congrès.
Vendredi dernier, à Rivière-du-Rempart, le MSM a lancé sa campagne pour la partielle du numéro 7. Le Parti travailliste rassemblait ses partisans à Montagne-Longue.
Ne croyant pas dans la tenue de cette partielle, le MMM était lui à Rose-Hill, à l’écoute des tribulations des personnes âgées.
Dans le nord du pays, défilé de voiture, pétarade et des centaines d’affiches. Les organisateurs du lancement de la campagne de l’alliance gouvernementale dans le cadre de la partielle au numéro 7, n’ont rien laissé au hasard, vendredi.
Sauf que c’était, pour nombre d’observateurs, un non-événement. Alors qu’on attendait de connaître le nom de son candidat à cette partielle annoncée pour novembre, il n’en fut rien.
A la place, Pravind Jugnauth a énuméré les diverses réalisations de son gouvernement, allant du salaire minimal aux jeux des îles, en passant par le métro-express. Le leader du MSM a concentré ses attaques contre Paul Bérenger et Navin Ramgoolam.
Le même jour, le Parti travailliste réunissait ses partisans à Montagne-Longue. Lui aussi était entouré de son état major, et de Kaylanee Juggoo, Mireille Martin et Didier Moutou. Ces trois nommés sont pressentis pour représenter les Rouges aux prochaines générales.
Le leader des Rouges, évoquant sa politique de rupture, a sévèrement critiqué la gouvernance de Pravind Jugnauth.
Du côté du MMM, Paul Bérenger continue à dire que son parti ne croit pas dans la tenue d’une partielle à Piton/Rivière-du-Rempart, précisant qu’il est fin prêt pour les législatives.
Le MMM, qui, ce même vendredi, réfléchissait sur le sort des personnes âgées, en vue de la rédaction de son manifeste électoral.
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