En 2020, 50 travailleuses du sexe ont été séparées de leurs enfants
17 déc. 2020 20:00
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Rien qu’en 2020, 50 travailleuses du sexe ont perdu la garde de leurs enfants. Leurs droits ont été bafoués en tant que mère parce qu’elles exercent le travail du sexe. Ceci est une violation de leurs droits humains, estime l’association Parapli Rouz qui regrette de n’avoir pu régler que deux litiges cette année.
Mélanie Babet, chargée du soutien à la mobilisation communautaire du mouvement, pointe du doigt les procédures administratives.
« Il n’y a aucun cours pour être une bonne mère. Le métier ne détermine pas si elle sera une bonne mère ou pas. Jusqu’à présent, nous avons eu uniquement deux gros succès. C’est un chiffre très bas. C’est plus difficile de contacter les officiers du CDU et parfois les mamans. » avance Mélanie Babet.
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