Diffusion de vidéos dénigrantes sur les réseaux sociaux: Simla Kistnen passe de victime à accusée en l’espace de trois ans. 

Ses avocats ont demandé que l’affaire soit référée au bureau du Directeur des Poursuites publiques.

Trois ans après avoir porté plainte pour la diffusion de quatre vidéos portant atteinte à sa vie privée, Simla Kistnen se retrouve sur le banc des accusés dans cette affaire.

Hier, elle a été interpellée par la police qui l’accuse d’avoir fait des déclarations mensongères et malveillantes par écrit.

Ses avocats ont demandé que l’affaire soit référée au bureau du Directeur des Poursuites publiques.

« Ce n’est pas facile, mais il faut persévérer. La police est venue me chercher. J’ai volontairement accepté de terminer l’enquête. Tout s’est bien passé », confie la  veuve de Soopramanien Kistnen

Simla Kistnen qui réfute également les accusations selon lesquelles elle avait juré un faux affidavit peu après le décès de son mari, en 2020.

« Dans les circonstances de la mort de mon mari, j’ai été choquée. Ma déclaration n’était pas fausse, mais j’ai peut-être fait une erreur sous le choc ».

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